La Belle au bois dormant

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Nouveau spectacle !

Princesse Aurore : Alessandra De Maria
Prince Florimond : David Claisse
Carabosse : Alvaro Rodriguez Piñera ou Fábio Lopez
Fée soliste : Salomé Goualle
La mère : Océane Giner
Corps de ballet : Océane Giner, Salomé Goualle, Viola Izzo, Nina Pham, Florian Carer, David Claisse, Emanuele Co’, Thomas Donat, Rodrigo Pereira
Musique : Piotr Ilitch Tchaïkovski & Maurice Ravel
Chorégraphie & dramaturgie : Fábio Lopez, d’après Marius Petipa
Conseillère artistique : Françoise Dubuc
Scénographie : Fábio Lopez & Christian Grossard
Création du décor : Fred Vadé
Conception des lumières : Christian Grossard
Création des costumes : Dorothée Laurent
Régie générale : Christian Grossard & Gregory Laporte
Coproduction : Compagnie Illicite Bayonne – Malandain Ballet Biarritz – Centre Chorégraphique National – Saison France-Portugal 2022 – Intranzyt Cia

Durée du spectacle : 1H10

Il y a très longtemps une reine se languissait et se lamentait de n’avoir pas d’enfant.

Un jour cependant, alors que la reine se promenait dans la forêt, une sublime fée revêtue de fleurs séchées lui parla ainsi : — « Ton vœu sera exaucé, l’an à venir tu mettras au monde une fille, mais il y aura un prix à payer. La princesse Aurore se piquera avec une épine dans sa quinzième année et en tombera morte. Sans un mot de plus, elle s’éloigna. » Tout le monde fut fort effrayé.

Malgré la protection d’autres fées, la prédiction de la fée Carabosse se réalisa et la reine mourut en donnant naissance à une petite fille d’une grande beauté. Une jeune âme naît et une autre quitte ce monde.

Une grande fête fût organisée pour célébrer le seizième anniversaire de la princesse. La jeune fille resta seule au château. Elle s’y promena partout. Elle rencontra un jeune homme. Ils n’osaient presque pas se parler. Elle s’aperçut bientôt qu’il était différent et que son corps était recouvert d’épines. À l’instant où elle s’approcha de lui avec passion, elle plongea dans un sommeil éternel ; le maléfice s’était réalisé. Effrayé le prince s’enfuit.

Les fées endormirent tout le monde et partirent à la recherche du prince Florimund, qui s’avérait être le fils de Carabosse. La vision d’Aurore hantait ses pensées et il se lamentait.
La fée Carabosse apparut et demanda à son fils d’oublier la princesse. Il refusa et les épines qui le recouvraient, nées de tous les anciens maléfices de sa mère, finirent par tuer celle-ci.

Le prince put alors enlever sa peau épineuse et réveiller Aurore sur son lit de roses.
« Elle gisait là si belle qu’il ne pouvait en détourner les yeux, il se pencha et lui donna un baiser. Alors qu’il l’effleurait de ses lèvres, la Belle au Bois dormant, telle des ailes d’un papillon bâtirent des paupières, se réveilla et le regarda avec affection. » Enfin le prince et la Belle au bois dormant purent vivre heureux jusqu’à leurs derniers jours.

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Teaser et vidéos

La presse en parle

La Belle au bois dormant a peut-être (r)éveillé une autre attente culturelle. Les spectateurs ont été conquis.

Remarquablement bien ficelé et interprété. René Sirvin - ex FIGARO

Encore une fois, Fabio Lopez fait la preuve de son talent et nous a confortés dans notre sentiment d'avoir en lui un grand chorégraphe néo-classique. Annie Rodriguez - D A N S E R

Il n’y a aucun doute en voyant ces séquences que Fabio Lopez veut mettre à l’honneur et revivifier le langage classique. Antonella Poli - Chroniques de Danse

Défi brillamment relevé aussi bien dans la ré-appropriation chorégraphique de l’œuvre que dans l’exécution par une compagnie de très jeunes danseurs dont il faut saluer la pugnacité. Olivier Dubos - LE NOMBRIL DU VICOMTE

Marius Petipa n’est pas, loin s’en faut, absent de la Belle de Fabio Lopez. Mais ici, les citations chorégraphiques sont très expertement digérées et insérées dans le texte chorégraphique. LES BALLETONAUTES